J’ai livré à la revue BIBLIOthèques(s) de l’ABF, pour le dossier Et si on parlait argent ? de son numéro 40 (octobre 2008) un article que j’ai intitulé L’agent, c’est de l’argent.
Partant de la constatation que le coût d’une bibliothèque est 4 à 7 fois supérieur aux dépenses documentaires, j’énumère les éléments permettant (ou non !) de maîtriser ces coûts : l’architecture, le bénévolat, la mutualisation et l’automation, en concluant qu’en cas de manque de personnel, la variable d’ajustement ce sont souvent, malheureusement, les horaires d’ouverture.
J’aborde une fois de plus ce que j’appelle le casse-tête statutaire, avec son cortège de reçus-collés (lauréats de concours ne trouvant pas d’emplois) et de ceux que j’appelle les embauchés-collés (contractuels ne réussissant pas les concours), puis la question des qualifications, en appelant à la mixité des métiers.
Sous l’intertitre L’agent du changement, je rappelle enfin que les personnels seront – ou non – les acteurs de l’évolution des bibliothèques.
J’utilise la formule Une bibliothèque c’est d’abord des gens d’un double point de vue : c’est d’abord les usagers, c’est d’abord le personnel.
J’aime ça :
J’aime chargement…
Articles similaires
This entry was posted on 12 novembre 2008 à 7:47 and is filed under Ressources humaines.
You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
You can leave a response, ou trackback from your own site.
Votre commentaire